creeruneassociation.com https://www.creeruneassociation.com Association, entreprise & business Mon, 08 Nov 2021 17:22:06 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.7.2 https://www.creeruneassociation.com/wp-content/uploads/2021/12/cropped-icon-32x32.png creeruneassociation.com https://www.creeruneassociation.com 32 32 Comment choisir une banque pour votre association ? https://www.creeruneassociation.com/comment-choisir-une-banque-pour-votre-association/ https://www.creeruneassociation.com/comment-choisir-une-banque-pour-votre-association/#respond Mon, 08 Nov 2021 17:22:06 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=240 Si vous projetez de créer une association, vous savez que cela nécessite un certain nombre de formalités et de démarches administratives, dont un compte bancaire. Toutefois, sachez que la création d’une association n’exige nullement l’ouverture d’un compte bancaire lié à vos activités. Mais on vous l’a conseillé. Vous avez certainement entendu parler des avantages de disposer d’un compte bancaire et vous vous posez des questions à ce sujet. En effet, pour une bonne gestion des finances de votre association, il est judicieux d’en avoir un.

Quelle banque pour votre association ?

Dans le cadre de la bonne gestion des dépenses et des recettes de votre association, il est conseillé de choisir une banque. On peut même dire que c’est incontournable pour que les membres de votre association sachent où verser leurs cotisations, pour y déposer les subventions et les divers dons que vous recevez. Mais quelle est la banque idéale pour votre association ? Cliquez ici pour comparer les banques qui pourraient convenir à votre association.

En fait, ce n’est pas une obligation pour une association d’ouvrir un compte bancaire, il n’existe pas de conditions particulières pour le choix de l’établissement bancaire. Tout dépend des besoins de votre association : un établissement bancaire dématérialisé sur Internet, une mutualiste ou une banque traditionnelle, une néobanque. Toutefois, pour information, une banque traditionnelle reste une valeur sûre en raison de leurs services personnalisés et dédiés aux associations. Que ce soit pour les collectes de dons, les différents paiements, les encaissements, etc., une banque traditionnelle dispose de tous les outils spécifiques. De plus, ce type de banque propose des offres de financement qui s’adressent aux associations : avances sur subventions, financement de matériels, financements immobiliers, gestion de trésorerie, etc. Par ailleurs, d’autres produits sont à la disposition des associations : comptes à terme, prestations d’assurance, etc. Mais pour bénéficier de ces prestations, attendez-vous à des frais assez élevés.

Que faut-il savoir d’autre et quels papiers fournir pour un compte associatif ?

Que vous optiez pour une banque traditionnelle, une néobanque ou un tout autre établissement bancaire, il y a certains prérequis à respecter. Voici les pièces nécessaires à produire pour une ouverture de compte, quelle que soit la banque choisie :

-les statuts mis à jour de votre association, datés et signés par le président
-le procès-verbal de délibération qui désigne les responsables du compte ainsi que les pièces d’identité des mandataires.
-le récépissé de déclaration de l’association à la préfecture,
-l’extrait de l’avis de publication au journal officiel des associations et fondations d’entreprise.
-la liste des membres de l’association
-le justificatif de l’adresse du siège social.

Faites en sorte que votre dossier soit bien complet avant la demande d’ouverture de compte pour que la démarche se fasse le plus rapidement possible. Sinon, la meilleure chose à faire est sans doute de demander conseil à votre banquier actuel pour savoir quelle banque serait la plus adaptée à votre association. Mais bien sûr, vous avez le choix entre le Crédit Agricole, La Banque Postale, Société Générale, Crédit Mutuel, BNP, etc. À préciser, par ailleurs, que selon l’avis de la plupart des associations, le Crédit Mutuel reste la meilleure banque pour les associations.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/comment-choisir-une-banque-pour-votre-association/feed/ 0
Comment être actionnaire ? https://www.creeruneassociation.com/comment-etre-actionnaire/ https://www.creeruneassociation.com/comment-etre-actionnaire/#respond Fri, 29 Oct 2021 15:13:51 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=233 Pour qu’une entreprise soit légalement constituée, des individus partageant les mêmes perspectives et les mêmes intérêts doivent se réunir pour former une structure. Ce, en délivrant chacun leurs apports. En droit des affaires, ces derniers sont ce que l’on appelle les actionnaires. Mais comment être actionnaire d’un groupe ? De simple associé à actionnaire majoritaire, voici le chemin à suivre.

Devenir actionnaire : par quels moyens ?

Pour être actionnaire, il faut répondre à certains critères. En France, ils sont fixés par les statuts mêmes de l’entreprise. Selon les règlements régissant les formes sociétales, tout individu qui aspire à devenir actionnaire d’un groupe doit libérer ses apports. Ce, en vue d’acquérir les parts sociales qui lui reviennent de droit. L’idéal serait un apport en nature ou un apport en numéraire. Composé de biens immatériels ou matériels, tels que les bâtiments, les terrains ou encore les véhicules, l’apport en nature est parfois le plus sollicité. Quant à l’apport en numéraire, il s’agit d’une contribution monétaire provenant du futur actionnaire.

À quel moment peut-on devenir actionnaire ?

Tout entrepreneur qui souhaite avoir du succès sait qu’il faut investir au bon moment. Qu’il s’agisse d’une personne physique ou d’une entité, voici les meilleurs moments pour devenir actionnaire au sein d’un groupe :
– Dès la création. Pour que le groupe puisse démarrer ses activités, le capital social doit être constitué par les investisseurs qui deviendront les actionnaires.
– À l’occasion de l’expansion du groupe. Ce qui signifie que le capital social doit également être augmenté pour que l’entreprise puisse atteindre ses nouveaux objectifs.
– À l’occasion d’une vente ou d’une cession de parts sociales existantes au sein du groupe.

Pourquoi devenir actionnaire ?

Le succès, la réussite et les bénéfices sont ce qui motive le plus un entrepreneur à s’associer avec d’autres entrepreneurs. Le principe est de partager le capital social en plusieurs parts pour minimiser les pertes en cas de faillite. La responsabilité d’un actionnaire est en effet limité à hauteur des parts qu’il détient au sein de la société. À noter que certains actionnaires ont le droit de participer à la vie sociétale, tandis que d’autres n’ont pas ce privilège. En droit des affaires, les apports délivrés par les actionnaires constituent des dettes permanentes de l’entreprise envers les investisseurs.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/comment-etre-actionnaire/feed/ 0
Quels sont les atouts de l’assurance vie ? https://www.creeruneassociation.com/quels-sont-les-atouts-de-lassurance-vie/ https://www.creeruneassociation.com/quels-sont-les-atouts-de-lassurance-vie/#respond Tue, 26 Oct 2021 02:22:57 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=226 De nombreux épargnants français optent pour l’assurance. Cet engouement s’explique, entre autres raisons, par sa fiscalité avantageuse. Toutefois, ce n’est pas l’unique argument en faveur de l’assurance vie. Ce produit connaît un succès grandissant parce qu’il présente un certain nombre d’atouts, tout aussi intéressants les uns que les autres. Si vous réfléchissez à la possibilité de souscrire un contrat d’assurance vie, les quelques lignes qui suivent vous aideront sans doute à prendre cette décision.

Les principaux atouts de l’assurance vie

L’assurance vie est la réponse à diverses attentes et à différents objectifs, raison pour laquelle on la qualifie de couteau suisse de l’épargne. En effet, l’assurance vie permet le financement de projets tels que l’étude des enfants, l’acquisition d’un bien immobilier ainsi que la constitution et la valorisation d’un patrimoine. L’assurance vie vous permet également de vous constituer des revenus, de préparer votre retraite ou de compléter celle-ci. C’est aussi un produit qui peut vous aider en prévention de la perte d’autonomie et peut protéger vos proches via la transmission de votre capital à votre décès. Un autre atout d’une assurance vie, c’est sa disponibilité. Vous pouvez y avoir accès et retirer vos fonds rapidement, tant des retraits ponctuels que des retraits programmés. Mais l’un de ses meilleurs atouts, c’est sa fiscalité incitative. Au bout de 8 ans, vos fonds bénéficient d’une exonération d’impôt sur le revenu. Il est question d’un abattement de 4 600 euros pour un célibataire et de 9 200 euros pour un couple marié ou non, si celui-ci est soumis à une imposition commune. Puis, en cas de décès, si les primes sont versées avant votre soixante-dixième anniversaire, les sommes qui reviennent à vos bénéficiaires, si elles ne dépassent pas les 152 500 euros, ne sont pas soumises aux droits de succession.

Etes-vous tenter par l’assurance vie ?

L’assurance vie est considérée comme une enveloppe fiscale dans le sens où l’argent que vous versez peut être investi sur deux supports différents. Il y a d’abord le contrat monosupport dans lequel tout votre capital est positionné en fonds en euros. Il s’agit d’un fonds sécurisé, avec zéro risque parce que c’est votre assureur qui garantit le contrat. Ce fonds génère des intérêts tous les ans. Puis, il y a le contrat multisupport, des unités de compte qui présentent des risques, mais dont le potentiel de rémunération est plus élevé. Votre choix entre ces deux supports dépend de plusieurs facteurs tels que votre profil de risque, votre âge, vos objectifs en termes de rentabilité, votre connaissance des marchés, etc. De plus, rien ne vous empêche d’avoir plus d’un contrat d’assurance vie, ce qui peut s’avérer avantageux sur le plan du rendement. En tout cas, l’assurance vie Nalo se présente comme l’une des meilleures sur le marché. Pour retrouver toutes les particularités de cette assurance, cliquez sur ce lien. Sachez qu’avec Nalo, contrairement aux autres contrats d’assurance vie, vous pouvez créer plusieurs projets financiers simultanément. Les frais sont parmi les plus bas sur tout le territoire et vous n’avez à payer ni frais d’entrée, ni frais de sortie, ni frais de dossier, ni frais d’arbitrage. Bien sûr, vous pouvez effectuer des versements et des retraits à tout moment.

Les types de contrats d’assurance vie

Avant de souscrire à un contrat d’assurance vie, voici ce que vous devez savoir. Il existe trois types de contrats : le contrat en cas de vie, le contrat en cas de décès et le contrat vie et décès. Si vous ne comprenez pas très bien la différence entre ces types de contrats, ne vous inquiétez pas, l’assureur a l’obligation de vous expliquer tout cela en long et en large. Pour faire simple, un contrat de vie veut dire que si vous êtes en vie au terme du contrat, votre assureur vous verse un capital ou une rente. Il peut aussi le verser aux bénéficiaires que vous désignez par avance et c’est ce qu’il fait également en cas de décès avant la fin du contrat. Vous êtes seul maître de la durée de votre contrat. Quant au contrat décès, l’assureur verse un capital ou une rente à vos bénéficiaires si votre décès survient avant une date déterminée, peut-être à l’échéance du contrat ou d’un autre événement comme votre décès avant la fin des études de vos enfants. Enfin, par le contrat mixte, vie et décès, l’assureur s’engage à vous faire le versement d’un capital ou d’une rente à la fin du contrat. Si vous décédez avant cette date, il effectue ce versement aux bénéficiaires que vous choisissez.

Les conditions pour souscrire une assurance vie

Il y a des conditions à remplir pour souscrire une assurance vie, la première étant que vous devez avoir la capacité juridique pour ce faire. Cela implique que les mineurs et les majeurs en tutelle ne peuvent pas le faire seul. Deuxième condition, vous devez entrer dans la limite d’âge imposée par l’assureur, donc, renseignez-vous avant. Vous devez par ailleurs vous engager à payer les primes prévues dans le contrat et remplir soigneusement le formulaire médical que vous remet l’assureur. Pour information, sachez que la souscription conjointe est possible, autrement dit, vous êtes à plusieurs pour souscrire un contrat, peut-être avec votre conjoint ou une tierce personne. Il est également important de vous renseigner sur la possibilité de souscrire un contrat d’assurance vie si votre domicile fiscal n’est pas en France. Certains assureurs peuvent refuser cette souscription, car les règles fiscales ne sont probablement pas les mêmes en France et dans le pays dont vous avez la nationalité ou dans votre pays de résidence actuel.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/quels-sont-les-atouts-de-lassurance-vie/feed/ 0
Création d’entreprises en France https://www.creeruneassociation.com/creation-dentreprises-en-france/ https://www.creeruneassociation.com/creation-dentreprises-en-france/#respond Mon, 23 Aug 2021 07:58:20 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=219 La procédure de création d’entreprises en France repose généralement sur l’établissement de certains documents et sur d’autres procédures. Généralement, un siège social est également requis ainsi que la forme juridique de la future société.

Types d’entreprises en France

  • L’entreprise individuelle est la forme d’entreprise la plus simple en France. Un seul membre est requis, constituant le seul responsable des obligations de la société. L’enregistrement d’une entreprise individuelle est assez simple et ne nécessite que le dépôt d’une demande au Registre du Commerce ainsi que l’obtention des autorisations nécessaires pour démarrer l’exploitation.
  • Société à Responsabilité Limitée (SARL) : Depuis 2003, un capital social minimum a été adopté pour créer une société à responsabilité limitée en France. Il suffit d’avoir au moins deux associés et un maximum de 100 pour que la création de l’entreprise soit valable.
  • Société par Actions Simplifiées (SAS) : Les principales conditions pour la constitution de ce type de société sont le siège social et le capital social minimum de 1 euro.
  • Société Anonyme (SA) : Pour constituer ce type de société, il est nécessaire d’avoir un capital social minimum de 37 000 euros. La moitié de ce montant doit être payée devant le Registre du Commerce. Il est également obligatoire d’avoir au moins sept actionnaires, un conseil d’administration et un conseil de surveillance.
  • Succursale, Filiale ou Bureau de Représentation française : Ce type de structure peut représenter soit une entité distincte en France, soit une extension de la société mère.

Toute entreprise nouvellement créée doit effectuer une annonce légale. Elle doit également faire ce type d’annonce au changement de statut, d’administrateur, etc. Quant à la liste des nouvelles entreprises créées, elle est visible sur les journaux ou les services de presse en ligne habilités à publier des annonces légales.

Fiscalité des entreprises en France

L’un des aspects les plus courants de la création d’entreprise est lié à la fiscalité à laquelle l’entreprise sera soumise. De ce point de vue, une entreprise française doit payer :

  • l’impôt sur les sociétés qui est prélevé au taux de 33,3 % sur les revenus mondiaux de la société.
  • la contribution sociale qui est appliquée au taux de 3,3 % pour un impôt supérieur à 763 000 euros.
  • une taxe spéciale appliquée au taux de 10,7 % si le chiffre d’affaires de la société dépasse 250 millions d’euros.
  • la taxe sur la valeur ajoutée qui est perçue au taux normal de 20 %, toutefois des taux réduits s’appliquent à certains produits.
]]>
https://www.creeruneassociation.com/creation-dentreprises-en-france/feed/ 0
Le statut étudiant-entrepreneur https://www.creeruneassociation.com/le-statut-etudiant-entrepreneur/ https://www.creeruneassociation.com/le-statut-etudiant-entrepreneur/#respond Wed, 21 Jul 2021 07:30:06 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=214 Depuis 2014, les étudiants ont la possibilité d’obtenir un statut étudiant-entrepreneur. Pendant l’année scolaire 2018-2019, plus de 4000 étudiants ont bénéficié des avantages de ce statut.

A qui s’adresse ce statut

Ce statut s’adresse aux étudiants et aux jeunes diplômés de moins de 28 ans. Le baccalauréat est le seul diplôme nécessaire pour pouvoir jouir de ce statut. Pour les personnes diplômées, ils doivent obligatoirement s’inscrire pour un D2E (diplôme établissement étudiant-entrepreneur)
Le jeune étudiant porteur de projet doit envoyer son dossier au Pôle étudiant pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (Pépite) ou faire une demande en ligne. Ensuite, son dossier sera étudié. Le sérieux et la motivation du candidat ainsi que l’importance de son projet font que son projet soit accepté ou non.
S’il est retenu, son dossier sera envoyé au ministère de l’enseignement supérieur.

Quels sont ses avantages

L’étudiant bénéficie d’un accompagnement adapté à sa formation. Il pourra modifier son emploi du temps en fonction de son projet et de sa disponibilité. Il peut aussi ne pas faire de stage obligatoire pour valider sa formation, avec les crédits ECTS.
Il bénéficie également de formation sur la gestion d’une entreprise et de son lancement. Il sera accompagné par un spécialiste dans le domaine de l’entreprenariat (entrepreneur, conseillé,…) et par un enseignant. Il pourra travailler dans un espace de coworking de Pépite.
Le statut lui permet de signer un Contrat d’appui au projet d’entreprise (Cape). Avec lequel il pourra obtenir une aide financière pour réaliser ses plans.

Et si l’on a déjà créé une entreprise

Vous pouvez toujours bénéficier du statut étudiant-entrepreneur même si votre entreprise est déjà créée. Cependant, les formations proposées par ce statut sont plutôt orientées vers la création d’une entreprise. Il est plutôt inutile si vous avez déjà les connaissances nécessaires comme la gestion, la comptabilité…
Mais si vous voulez prolonger votre statut étudiant et bénéficier de ses avantages (sécurité sociale, transport,…), le statut peut vous aider dans ce cas.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/le-statut-etudiant-entrepreneur/feed/ 0
Modification de société : comment faire une annonce légale ? https://www.creeruneassociation.com/modification-de-societe-comment-faire-une-annonce-legale/ https://www.creeruneassociation.com/modification-de-societe-comment-faire-une-annonce-legale/#respond Mon, 19 Jul 2021 11:35:04 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=205 Procédure indispensable au cours de la création d’entreprise, la publication d’annonce légale est également utile en d’autres circonstances. Si vous souhaitez apporter des modifications aux statuts votre société, vous vous trouvez dans l’obligation de les publier.

La publication d’annonce légale : pour qui ?

La publication d’une annonce légale est réservée aux entreprises bénéficiant d’un statut de société. Cela s’applique donc aux SARL, aux SA et même aux EURL. Étant donné que les entreprises individuelles ne bénéficient pas de ce statut, elles sont exclues de cette obligation. Toutefois, si vous envisagez de faire venir des actionnaires, vous devrez modifier la nature de l’entreprise. À ce moment, vous devez publier une annonce légale.

Quelles modifications font l’objet d’une publication d’annonce légale ?

La modification d’une société est une formalité soumise à des obligations légales. La publication d’une annonce légale en fait notamment partie. Vous avez donc à faire paraître une annonce légale si vous prévoyez de :

– Changer la dénomination sociale de la société. Cela signifie que l’entreprise envisage de modifier le nom pour lequel le public la connaît.

– Modifier les statuts de la société (par exemple transformer une SA en SARL).
– Changer d’objet social (autrement dit, modifier les activités de l’entreprise)
– Déplacer le siège de la société. Si vous envisagez de déplacer la société dans un tout autre département, vous devez publier deux annonces distinctes (dans l’ancien et le nouveau département).

– Modifier le montant du capital social (que ce soit régressif ou progressif)
– Remplacer les dirigeants de la société
– Modifier la durée d’existence de l’entreprise

En sachant que toute entité a un devoir de transparence, cela a pour objectif de faire connaître les nouvelles informations concernant la société.

Quelles sont les démarches pour publier une annonce légale ?

Ce type d’annonce est obligatoirement publié dans un journal d’annonces juridiques. La première étape est donc de consulter la liste des journaux habilités dans votre département. Elle est disponible en ligne. Vous pouvez également confier la publication à des sites spécialisés. Cela signifie que le site transmet vos informations au journal. D’ailleurs, cette option est plus pratique, car le site met des modèles préconçus à votre disposition. Cela vous évite donc de faire des erreurs ou d’avoir des informations manquantes. Pour ce faire, il vous suffit de choisir le type d’annonce qui correspond à vos besoins, parmi la liste proposée. Ensuite, remplissez les cases par les informations concernant votre société. Une fois que vous avez réglé le montant de la publication (environ 200 €, variable selon le statut de la société), le site vous fournit une attestation de parution. Il s’agit du document qui renseigne sur la date de publication de votre exemplaire. Certains sites peuvent également vous proposer de vous envoyer une version de votre annonce publiée.

Quelles informations doivent figurer sur une annonce légale ?

Une annonce légale contient toujours les mêmes informations. Qu’elle soit publiée à la phase de création d’une entreprise ou au cours d’une modification, une annonce légale renseigne sur l’entreprise. À ce titre, elle doit contenir les informations telles que la dénomination sociale de la société, l’adresse de son siège, son numéro d’immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés), etc. Notez qu’une annonce légale doit être publiée dans le mois qui suit toute modification au sein de la société.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/modification-de-societe-comment-faire-une-annonce-legale/feed/ 0
Les bons conseils pour éviter les difficultés d’une entreprise https://www.creeruneassociation.com/les-bons-conseils-pour-eviter-les-difficultes-dune-entreprise/ https://www.creeruneassociation.com/les-bons-conseils-pour-eviter-les-difficultes-dune-entreprise/#respond Mon, 05 Jul 2021 10:29:10 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=199 Votre entreprise peut aller directement vers une liquidation juridique en cas de difficulté financière prolongée. Mais, vous pouvez aussi vous en sortir en intervenant efficacement. En tout cas, vous pouvez prévenir la moindre difficulté au niveau de votre société.

Anticipez les choses pour pouvoir réagir vite

Il est primordial d’anticiper les choses pour éviter de tomber de travers sur le domaine financier. Vous devez alors intervenir, dans un bref délai, en cas de changement de performances économiques de votre entreprise. Cela est aussi valable en cas de fluctuations financières sur les comptes de votre société.
Pour cela, il est recommandé de contacter rapidement votre conseiller bancaire. Ce dernier peut parfaitement émettre son avis sur les comptes de votre entreprise. En outre, le conseiller bancaire ne peut pas donner un avis complet sur votre situation. Mais, il vous facilitera les prises de décisions sur le plan financier.

Engagez un expert pour éviter les difficultés financières

Après avoir constaté l’avis de votre conseiller bancaire, vous pouvez contacter un expert-comptable pour vous aider. Ce dernier peut entrer dans les détails de vos comptes pour vérifier les risques de difficultés financières. Il faut savoir que les missions d’un expert-comptable ne se limitent pas à la validation des comptes à chaque fin d’exercice.
Il peut vous offrir un accompagnement complet pour éviter la moindre difficulté financière pour votre société. Notez que plusieurs options peuvent être proposées pour assurer la prise en charge des honoraires d’un expert-comptable. Vous pouvez, avant tout, vous informer sur l’assurance santé entreprise établie par le Conseil supérieur de l’ordre des Experts-comptables.

Quelques procédures préventives à prendre en compte

Il se peut que l’analyse de vos performances financières ne suffise pas pour éviter les difficultés. Vous pouvez parfaitement contacter la CCSF (Commission départementale des Chefs des Services Financiers) pour régler plusieurs dettes. Cette commission peut vous offrir un délai pour payer vos dettes fiscales et sociales.
Vous pouvez aussi vous rendre auprès du Tribunal de Commerce. Ce dernier peut vous proposer des procédures complémentaires selon la situation. Vous aurez alors la possibilité de lancer un mandat ad hoc ou opter pour une procédure de conciliation.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/les-bons-conseils-pour-eviter-les-difficultes-dune-entreprise/feed/ 0
Quelles sont les obligations pour une association ? https://www.creeruneassociation.com/quelles-sont-les-obligations-pour-une-association/ https://www.creeruneassociation.com/quelles-sont-les-obligations-pour-une-association/#respond Mon, 05 Jul 2021 04:42:13 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=193 Toutes les étapes de la vie d’une association impliquent des démarches administratives obligatoires. Ces obligations sont légalement mises en place pour la création de l’association, pour son évolution et même pour son éventuelle dissolution. Si vous désirez créer une telle structure, voici toutes les informations à savoir concernant ces obligations.

La rédaction des statuts

Il est impossible de ne pas mentionner les statuts quand il est question des informations à connaître pour les associations.
Sachez alors que la rédaction des statuts est la première étape obligatoire pour créer une association. Dans le cadre d’une association loi 1901, les statuts constituent un acte du fondateur et ce « contrat » est signé au moins par 2 membres sauf exception. Bien que la rédaction de statuts soit libre, cette étape est régie par des obligations particulières pour des formes particulières d’association où des règles spécifiques sont en place :
– Rédaction conforme à un statut type (ex : pour les associations de chasseurs)
– Soumission des statuts à une autorité de tutelle (ex : pour une association agréée de pêcheurs professionnels en eau douce)
– Mention des produits et services vendus de manière habituelle
– Etc.

L’identification et l’immatriculation de l’association

Cette étape commence par la déclaration de l’association en préfecture. L’association reçoit alors son numéro d’inscription au répertoire national des associations ou RNA.
Ensuite, certaines formes d’association doivent demander une immatriculation au répertoire national des entreprises et des établissements, couramment appelé répertoire SIRENE. Cette obligation se rapporte notamment aux associations demandant des subventions auprès de l’État ou des collectivités territoriales. Elle concerne également les associations qui ont des salariés et dont les activités sont assujetties à la TVA ou à l’impôt sur les sociétés.
Par ailleurs, certaines associations doivent demander l’agrément par l’État ou par l’un de ses établissements publics. Cet agrément témoigne de la reconnaissance par l’État, de l’engagement de l’association dans son domaine.
À lire : Les conditions d’obtention d’un agrément par l’État.

Différentes obligations administratives au cours de l’évolution de l’association

La vie associative est dynamique. Elle évolue en fil du temps. Il arrive donc que certains paramètres changent. Notez alors que chaque changement majeur dans la vie de l’association doit faire l’objet d’une déclaration en bonne et due forme.
Il arrive par exemple que l’association change de nom, de siège social ou d’objet. Il s’agit dans ce cas de modifications statuaires dont la déclaration se fait auprès du greffe des associations à savoir celui du département d’implantation du siège. Bien entendu, avant leur déclaration, ces modifications doivent obligatoirement respecter les conditions prévues par le statut. Et la déclaration doit être faite dans les 3 mois qui suivent l’application effective des dites modifications.
Tout autre changement survenant au cours de l’évolution de l’association nécessite aussi une déclaration :
– Changement des dirigeants
– Changement d’adresse de gestion
– Changement de statut d’une association membre (adhésion, retrait, etc.)
– Changement d’adresse de siège
– Changement du nombre de locaux d’administration ou de réalisation d’activités
Dissolution de l’association
– Etc.
Attention, chaque changement non déclaré expose les dirigeants à une amende dont le montant peut atteindre 3.000€ (1.500€ pour un premier manquement, 3.000€ pour une récidive)

]]>
https://www.creeruneassociation.com/quelles-sont-les-obligations-pour-une-association/feed/ 0
Qu’est-ce qu’un Community Manager ? https://www.creeruneassociation.com/quest-ce-quun-community-manager/ https://www.creeruneassociation.com/quest-ce-quun-community-manager/#respond Fri, 02 Jul 2021 13:24:50 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=188 Le community manager est avant tout un métier. Il consiste à unifier et à animer le monde du web pour le compte d’une société ou d’une marque. Le community manager nécessite des qualités spéciales pour sa maîtrise.

Le rôle d’un community manager

– Un community manager doit essentiellement gérer l’image et la réputation de l’entreprise sur les réseaux sociaux.
– Il doit développer sa communauté en lui fournissant des informations, en offrant des débats et des échanges de connaissances.
– Discuter de son label n’est pas suffisant, il faut aussi contrôler la représentation contre les critiques.
– La création est un facteur important pour le succès d’une représentation, la communauté a besoin de contenu intéressant.
– L’influence est plus que considérable pour plus de visibilité.

L’importance du community manager dans la compagnie

Les réseaux sociaux font partie de la vie quotidienne, il dispose d’une grande valeur. Le métier d’un community manager est alors indispensable afin de communiquer toutes sortes de renseignements aux internautes. L’obtention d’information est pratique, adieu la complication.

Les qualités requises pour devenir un community manager

Il existe beaucoup de qualités pour devenir un community manager, voici quelques compétences pour réussir ce poste :
– Un community manager se doit d’avoir des aptitudes communicationnelles
Étant le portrait de la marque, vous devez être efficace pour la transmission des connaissances de la clientèle.
– Avoir de bons jugements
Être capable d’analyser toutes formes d’avis, en restant sincère en toute circonstance. Vous recevrez sans doute des questions. Vous n’êtes pas obligés de répondre ou simplement répliquer formellement.
– La disponibilité
Pour être community manager, vous avez la responsabilité d’être toujours disponible pour votre public.
– L’organisation
Il est vraiment capital que vous soyez bien organisés. Vous gérez de multiples programmes ou d’attributions d’informations.
– L’intelligence relationnelle
Le monde de l’internet peut ruiner l’image de votre entreprise. Il est donc impartial que vous fassiez preuve de diplomatie. Il faut faire attention à ce que vous dites. Il peut se retourner contre vous.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/quest-ce-quun-community-manager/feed/ 0
Entretien d’embauche : les gestes à éviter https://www.creeruneassociation.com/entretien-dembauche-les-gestes-a-eviter/ https://www.creeruneassociation.com/entretien-dembauche-les-gestes-a-eviter/#respond Fri, 02 Jul 2021 05:56:14 +0000 https://www.creeruneassociation.com/?p=178 Certes, passer un entretien d’embauche est un moment stressant surtout si c’est pour décrocher votre premier poste. Mais, cela ne veut pas dire que vous n’arriverez pas à passer cette épreuve. Il suffit de faire les choses correctement et tout ira bien. Voici quelques gestes à éviter pendant un entretien d’embauche.

Ne pas donner une poignée de main en premier

Vous avez du mal à décider si vous devez donner une poignée de main au recruteur ou non ? Si vous ne savez pas quoi faire ou si vous avez les mains moites à cause du stress, le mieux est de le laisser prendre l’initiative. Cela vous évitera de faire un geste que le recruteur peut ne pas apprécier. Autrement, la suite de votre entretien risque d’être plus stressante et vous pourriez le rater. L’idéal en tout cas est de regarder le recruteur et lui lancer un beau sourire tout en lui serrant la main.

Vous affaler sur la chaise

Ce geste peut donner l’impression au recruteur que vous n’êtes pas dans votre élément pour l’entretien. Ce qui fait qu’il aura plus de facilité à vous déstabiliser pour l’épreuve. Mais surtout, s’affaler sur la chaise peut donner l’impression que vous n’êtes pas vraiment emballé par le poste. Avec ce genre d’attitude, il sera difficile de convaincre le recruteur de vous engager. Si au milieu de l’entretien vous essayez de bouger encore et encore pour trouver une meilleure posture, le recruteur peut se dire que vous êtes stressé ou que vous manquez de confiance en vous.

Adopter un regard fuyant

Évitez à tout prix d’adopter un regard fuyant quand vous êtes face au recruteur. Effectivement, cela peut l’amener à croire que vous n’avez pas confiance en vous. Par conséquent, il peut vous assaillir de questions qui pouvant vous déstabiliser. Attention, cela ne veut pas dire que vous allez fixer bêtement le recruteur du regard. Il pourrait aussi prendre cela comme de la provocation. Ainsi, il est important d’adopter le bon regard pour mettre les chances de votre côté et de mener à bien votre entretien d’embauche.

Se ronger les ongles

Quand vous stressez, vous avez tendance à vous ronger les ongles ? Vous devez absolument éviter ce geste pendant votre entretien. Gérez ainsi votre stress avec des exercices de respiration. Cette page peut également vous aider à ne plus ronger vos ongles.

Ne pas rester naturel

Restez calme et soyez vous-même quand vous serez face au recruteur. Notez que ce dernier n’appréciera pas le fait que vous adoptiez un geste qui n’est pas le vôtre pendant l’entretien. Évitez même de flatter le recruteur. Cela peut le pousser à vous poser des questions qui peuvent finir par vous stresser tout au long de l’entretien. Ainsi, soyez vous-même pendant l’entretien. Cela permettra aussi au recruteur de mieux vous connaitre avant de vous engager.

Les bras ballants

Notez que les gestes sont importants pour maîtriser la situation pendant un entretien d’embauche. Vous devriez alors accompagner vos paroles par des gestes sans en faire trop. Cela permet d’établir une bonne communication tout en évitant de stresser. N’oubliez pas que rester immobile pendant un entretien d’embauche peut se retourner contre vous. Cela peut donner l’impression que vous n’êtes pas compétent pour le poste que vous visez. Le recruteur peut alors vous poser une série de questions qui finiront par vous mettre en état de stress.

]]>
https://www.creeruneassociation.com/entretien-dembauche-les-gestes-a-eviter/feed/ 0